2 avril 2013
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Où sont les colonnes d’antan,
Nous connaissant, frémissant.
Où est le soleil qui me faisait frémir,
Chaque jour, me réjouir.
Où sont les belles, me partageant,
Sans que je ne sois pour elles un amant.
Où est ce bon vieux temps,
Quand j’avais simplement vingt ans.
Où sont mes rires rayonnants,
Quand j’avais dix ans,
L’âge où j’ai grandi sans peur,
Entouré, de ma mère, de bonheur.
Où sont-ils tous ses indélicats,
Chargés de futurs tracas,
Evanouis, sans que cela ne les contrarie,
Ainsi va et vient, c’est la vie.
Mais au travers des déceptions,
On grandit sans émotions.
On pardonne toutes les exactions,
Pour, du soleil, retrouver ses rayons.
Il existe des gens bons, heureusement,
Sinon que ferions-nous de nos sentiments.
Batifoler, sur des pensées, sur des préjugés ?
Ce serait de ma part une mauvaise pensée.
Elles sont nombreuses, à avoir croisées ma vie,
Je ne leur fais aucunement envie.
L’amour, la vie, les sentiments,
Sont parfois si différents.
Le temps prendra soin de chacun,
Fera oublier les chagrins,
Pour qu’à la fin d’une vie,
Dans le bonheur, chacun soit réuni.
JL, alias l’Air du Temps